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Bacilly

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Bacilly
Bacilly
Le bourg vu de l'est.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Avranches
Intercommunalité Communauté d'agglomération Mont-Saint-Michel-Normandie
Maire
Mandat
Éric Quinton
2020-2026
Code postal 50530
Code commune 50027
Démographie
Gentilé Bacillais
Population
municipale
949 hab. (2021 en évolution de +2,15 % par rapport à 2015)
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 42′ 04″ nord, 1° 26′ 27″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 75 m
Superficie 15,88 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Avranches
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avranches
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Bacilly
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Bacilly
Liens
Site web www.bacilly.fr

Bacilly (prononcer /basiji:/) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 949 habitants[Note 1].

Elle est située entre la vallée du Lerre et la vallée du Vergon. Le territoire de Bacilly est traversé par la route d'Avranches à Granville par la côte passant au village de Fougeray et par la route de Villedieu à la mer, ancienne voie montoise et saunière passant au bourg et à Fougeray.

Géographie

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La commune est au nord-ouest de l'Avranchin, à l'intérieur des terres, toute proche de la baie du Mont-Saint-Michel. Couvrant 1 588 hectares, son territoire est le plus étendu du canton de Sartilly. Son bourg est à 7 km au sud de Sartilly et à 8,5 km à l'ouest d'Avranches[1].

Le point culminant (75 m) se situe en limite nord-est, sur la D 41. Le point le plus bas (7 m) correspond à la sortie du Vergon — dernier affluent de la Sée — du territoire, au sud-est.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 806 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pontorson à 17 km à vol d'oiseau[6], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 821,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Bacilly est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avranches, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 32 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (96,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,8 %), zones agricoles hétérogènes (35,2 %), terres arables (8,6 %), zones urbanisées (3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous la forme Bacilleio en 1066[15].

Le toponyme semble issu de l'anthroponyme roman Bassilius[16].

Le gentilé est Bacillais.

Sous l’Ancien Régime on trouve plusieurs fiefs à Bacilly.

  • Un fief appelé Bacilly, appartenant jusqu’au treizième siècle à des seigneurs de ce nom puis acquis par l’abbaye du Mont-Saint-Michel. Il fut fieffé (concédé moyennant une rente) à Antoine Ernault.
  • Le fief de Chantore, appartenant à une famille de ce nom, puis aux Thieuville, Mauny, Goyon de Matignon, Epinay. Il passa, par vente en 1511, à la famille Ernault qui le conserva jusqu’à la Révolution. Ce fief était vassal de celui de Saint-Pierre-Langers.
  • Le fief de la Grande Rousselière qui semble tirer son nom de la famille Roussel, propriétaire en 1327. On trouve deux siècles plus tard la famille Guiton puis Ernault. Ce fief était en débat de tenure entre la baronnie de Moyon et la vicomté de Saint-Sauveur-Lendelin.
  • Le fief de la Petite Rousselière Champagne, appartenant à Robin Roussel en 1327, on trouve ensuite les Argennes, le Boucher, le Brun, Piton. Devait relever de la Grande Rousselière.
  • Le fief de Monframeray dépendant de la Grande Rousselière et réuni à ce fief avant 1614.
  • Autre fief dit de Bacilly, s’étendant sur Quettreville et relevant de la baronnie de Gouville. En 1327 Jean de Méautis possède ce fief.
  • Le fief de Champillon, semble d’abord avoir été uni à celui de Chavoy, possédé par la famille Breuilly. Au XVIe siècle, Champillon appartient aux Lemercier puis La Broise.
  • Le fief de la Haye, sans doute possédé quelque temps par le Mont-Saint-Michel, mouvant de la baronnie de Moyon. Les Ernault furent les derniers propriétaires.
  • Le fief de la Pitière Bellesme, mouvant de celui de Champcey.
  • Le fief de Fougeray, dépendant du prieuré de Tombelaine, lequel appartenait à l’abbaye du Mont-Saint-Michel.

Quatre détenteurs de fiefs figurent parmi les 119 défenseurs du Mont-Saint-Michel : les seigneurs M. Roussel, L. de Cantilly et B. et C. de la Motte[17].

Au XVIIIe siècle, la construction du presbytère, dont l'essentiel des frais de construction impute depuis le règne de Louis XV à la paroisse et non plus au curé ou au décimateur, occasionna une dépense importante et le mécontentement des villageois[18].

En 1940, les équipes de la NRF des Éditions Gallimard ont séjourné dans la maison de Jeanne Gallimard, « Terpsichore » à Bacilly[17].

Politique et administration

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La mairie.
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
…1790 1790… Louis Lemaître    
1792 1795 François Charles Lemaître   Officier public
1795 1798 René Ursin Le Chault La Coquerie   Agent municipal
1798 1800 François Le Vavasseur   Agent municipal maire provisoire
1800 1816 François Charles Lemaître   Géomètre
1817 1818 Guillaume Dupont    
1818 1819 Charles Doynel de Quincey   Comte
1819 1821 Louis Dupont    
1821 1831 François Charles Lemaître    
1831 1846 Jean-François Lemaître-Frommeray    
1846 1861 Auguste Bréhier[19]    
1862 1862 César Pôtel   Adjoint fait fonction de maire
1862 1874 Eugène Jean Dupont    
1874 1900 Isidore Julien Chauvin    
1900 1903 Adolphe Gautier    
1903 1908 Yves Droüet de Montgermont    
1908 1915 Ernest Liot    
1915 1918 François Renault   Faisant fonction
1919 1932 Ernest Liot    
1932 1977 Jean Droüet de Montgermont   Agriculteur,
Conseiller général de 1937-1940, 1945-1976
1978 1986 Louis Rollo    
1986 2001 Gérard Levavasseur Parti=    
mars 2001[20] mars 2014 Jean-Pierre Debon SE Enseignant, maire honoraire
mars 2014[21] janvier 2016[22] Adolphe Baugé SE Cadre administratif et financier
avril 2016[23] mai 2020 Jean-Pierre Maincent SE Retraité du secteur bancaire
mai 2020[24] En cours Éric Quinton SE Exploitant agricole
Une partie des données est issue d'une liste établie par Jean Pouëssel et Gérard Menard[17].

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[25].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 949 habitants[Note 3], en évolution de +2,15 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Bacilly a compté jusqu'à 1 676 habitants en 1806.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5761 5011 6761 6131 6231 5171 5401 5451 411
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3441 3381 3051 2971 1551 1011 0531 011903
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
905896880845862844854855843
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
821781691673644670771785900
2017 2021 - - - - - - -
935949-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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L'église Saint-Étienne.
Le château de Chantore.
  • Église Saint-Étienne des XIVe – XIXe siècles, consacrée en 1283 par l’évêque Raoul de Thieuville, qui était aussi seigneur de Chantore. L'église s’effondra en 1816 et fut reconstruite. Le droit de présenter à la cure était alternatif entre l’évêque et l’abbaye du Mont-Saint-Michel. Ce bénéfice était un des plus lucratifs des cures rurales, le curé ayant la plupart des dîmes. Cette église dépend aujourd'hui de la paroisse Saint-Auguste-Chapdeleine du doyenné du Pays de Granville-Villedieu[30].
L'édifice abrite une statue de saint Eutrope du XIVe siècle[17] classée au titre objet aux monuments historiques[31]. Sont également conservés un maître-autel et autels latéraux du XIXe siècle, une statue de sainte Madeleine du XVIe siècle, trois tableaux des XIXe – XXe siècles dont la lapidation de saint Étienne, et une verrière du XIXe siècle de Mazuet[17]. Édouard Le Héricher la qualifiait de « mosquée turque au dehors et de temple protestant au dedans »[17].
  • Domaine de Chantore des XVIIIe – XIXe siècles, inscrit aux monuments historiques en comme témoin d'une architecture de style néo-Louis XIII. Il fut notamment la possession de Auguste-François Angot (1763-1841), député libéral en 1827 réélu en 1831[17].
  • La Rousselière du XIXe siècle.
  • Maisons aux linteaux datés dont une de 1804.
  • Croix de cimetière du XVIIe siècle et croix de chemin du grand Champillon, de la Croix « rouge » car peinte en 1912 en rouge par la famille du colonel Malet[17], de Saint-Gratien et Tremay des XVIIe – XVIIIe siècles.

Activité et manifestations

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Personnalités liées à la commune

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 18.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 69.
  • Abbés Masselin et Hulmel dans Revue de l'Avranchin t. 32 & 33 ; Dom Le Roy, Curieuses recherches sur le Mt-St-Michel ; Inventaire série A des Archives de la Manche ; Aveux des abbés du Mont-Saint-Michel, des seigneurs de la Rousselière

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes ancienne », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  6. « Orthodromie entre Bacilly et Pontorson », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Pontorson » (commune de Pontorson) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Pontorson » (commune de Pontorson) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Bacilly ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Avranches », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  16. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 57.
  17. a b c d e f g et h Gautier 2014, p. 69.
  18. Bernard Beck (photogr. Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises : 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204 p. (ISBN 2-7134-0053-8), p. 61.
  19. Annuaire du département de la Manche, 33e année 1861, p 235.
  20. « Jean-Pierre Debon reçoit la médaille du Sénat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  21. « Adolphe Baugé succède à Jean-Pierre Debon », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  22. « Adolphe Baugé : démission sous le signe de l'incompréhension », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  23. « Adjoint, Jean-Pierre Maincent devient maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  24. « Éric Quinton a été élu au poste de maire », sur lamanchelibre.fr, La Manche libre (consulté le ).
  25. « Bacilly (50530) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Site du diocèse.
  31. « Statue : Saint Eutrope », notice no PM50000051.