Aller au contenu

Aries-Espénan

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Aries-Espénan
Aries-Espénan
Vue du village.
Blason de Aries-Espénan
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac
Maire
Mandat
Isabelle Gandit
2020-2026
Code postal 65230
Code commune 65026
Démographie
Gentilé Ariénanois
Population
municipale
81 hab. (2021 en évolution de +22,73 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 16′ 41″ nord, 0° 31′ 53″ est
Altitude Min. 262 m
Max. 405 m
Superficie 5,55 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Coteaux
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Aries-Espénan
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Aries-Espénan
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Voir sur la carte topographique des Hautes-Pyrénées
Aries-Espénan
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Aries-Espénan

Aries-Espénan est une commune française située dans le nord-est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Gers, le Cier, le ruisseau de Jouau et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Aries-Espénan est une commune rurale qui compte 81 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 370 habitants en 1856. Ses habitants sont appelés les Ariénanois ou Ariénanoises.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Carte
Carte interactive d’Aries-Espénan
  • Limite communale
  • La commune d'Aries-Espénan se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 38 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à 14 km de Trie-sur-Baïse[2], bureau centralisateur du canton des Coteaux dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Boulogne-sur-Gesse[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Devèze (1,5 km), Pouy (2,7 km), Castelnau-Magnoac (2,7 km), Villemur (2,9 km), Monléon-Magnoac (3,0 km), Betbèze (3,5 km), Cizos (3,8 km), Organ (3,8 km).

    Sur le plan historique et culturel, Aries-Espénan fait partie de la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre[4].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Communes limitrophes d’Aries-Espénan[5]
    Sariac-Magnoac Betbèze
    Castelnau-Magnoac Aries-Espénan Devèze
    Cizos Monléon-Magnoac

    Hydrographie

    [modifier | modifier le code]
    La fontaine.

    Le ruisseau de Jouau, affluent de rive gauche du Gers, traverse la commune en partie sud-ouest de la commune.
    La rivière du Gers traverse la commune du sud au nord à l'ouest du village.
    Le ruisseau de Cier et le ruisseau d'Arroubin, affluents de rive droite du Gers, traversent la commune d'est en ouest.
    Un canal traverse aussi le village, le canal de Jouau, pour alimenter le moulin de Furcat, provenant et se jetant dans la rivière du Gers.

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 948 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelnau-Magnoac », sur la commune de Castelnau-Magnoac, mise en service en 1986[11] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de précipitations de 861,3 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 46 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[15], à 12,6 °C pour 1981-2010[16], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[17].

    Milieux naturels et biodiversité

    [modifier | modifier le code]
    Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[18], les « coteaux du Gers d'Aries-Espénan à Auch » (13 191 ha), couvrant 31 communes dont 28 dans le Gers et trois dans les Hautes-Pyrénées[19].

    Au , Aries-Espénan est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].

    Occupation des sols

    [modifier | modifier le code]

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,3 %), forêts (24,3 %), zones agricoles hétérogènes (16,9 %), prairies (16,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 49[I 5].
    Parmi ces logements, 63.3 % sont des résidences principales, 26.5  % des résidences secondaires et 10.2 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    [modifier | modifier le code]

    Cette commune est desservie par la route départementale D 632 et par la route départementale D 9.

    Risques majeurs

    [modifier | modifier le code]

    Le territoire de la commune d'Aries-Espénan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Gers et le Cier. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[23]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[24],[21].

    Aries-Espénan est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[25]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aries-Espénan.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[26].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 38 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 38 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1994 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Aries-Espénan au sud de Castelnau-Magnoac
    L’ oratoire.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[29] qui rapporte les dénominations historiques du village.

    Dénominations historiques :

    • Capellanus d’Aries et de Spenano, latin et gascon (1383-1384, procuration Auch) ;
    • Capellanus de Aries et Spenano, latin et gascon (1405, décime Auch) ;
    • de Ries, (XVe siècle, Taxes Auch).

    Nom occitan : Ariés.

    Dénominations historiques :

    • Capellanus d’Aries et de Spenano, latin et gascon (1383-1384, procuration Auch) ;
    • Capellanus de Aries et Spenano, latin et gascon (1405, décime Auch) ;
    • de Spanhano, latin (XVe siècle, taxes Auch) ;
    • Espenan, (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).

    Étymologie : nom de domaine antique, peut-être du nom de personnage Hispanius et suffixe anum.

    Cadastre napoléonien d'Aries-Espénan

    [modifier | modifier le code]

    Politique et administration

    [modifier | modifier le code]

    Liste des maires

    [modifier | modifier le code]
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 2001 en cours Isabelle Gandit    

    Rattachements administratifs et électoraux

    [modifier | modifier le code]
    La mairie en 2020.

    Historique administratif

    [modifier | modifier le code]

    Sénéchaussée d'Auch, Pays des Quatre-Vallées, vallée de Magnoac, canton de Castelnau-Magnoac (depuis 1790). Ariès et Espenan tous deux communes, sont réunies en 1858[32].

    Intercommunalité

    [modifier | modifier le code]

    Aries-Espénan appartient à la communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac créée en janvier 2017 et qui réunit 50 communes.

    La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.

    Services publics

    [modifier | modifier le code]

    Population et société

    [modifier | modifier le code]

    Démographie

    [modifier | modifier le code]

    Évolution démographique

    [modifier | modifier le code]
    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35]. En 2021, la commune comptait 81 habitants[Note 6], en évolution de +22,73 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
    Évolution de la population  [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1119511791109122125143143
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    370363302284228264235205188
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    200185178154139143132124108
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    848380757263666662
    2017 2021 - - - - - - -
    7181-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Court de tennis en 2020

    Enseignement

    [modifier | modifier le code]

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[38].

    Taux de chômage
    Division 2008 2013 2018
    Commune[I 6] 2,7 % 3,2 % 5,4 %
    Département[I 7] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
    France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 38 personnes, parmi lesquelles on compte 75,7 % d'actifs (70,3 % ayant un emploi et 5,4 % de chômeurs) et 24,3 % d'inactifs[Note 7],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 9 emplois en 2018, contre 6 en 2013 et 11 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 27, soit un indicateur de concentration d'emploi de 34,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50 %[I 10].

    Sur ces 27 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 8 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 80,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    [modifier | modifier le code]
    L'église de l’Assomption d'Aries en 2020.
    L'église de l’Assomption d'Aries en 2020.
    L'église Saint-Laurent d'Espénan en 2020.

    Lieux et monuments

    [modifier | modifier le code]
    Le monument aux morts municipal.

    Personnalités liées à la commune

    [modifier | modifier le code]

    Héraldique

    [modifier | modifier le code]

    Bibliographie

    [modifier | modifier le code]

    Articles connexes

    [modifier | modifier le code]

    Liens externes

    [modifier | modifier le code]

    Sur les autres projets Wikimedia :

    Notes et références

    [modifier | modifier le code]

    Notes et cartes

    [modifier | modifier le code]
    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
    7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Références

    [modifier | modifier le code]

    Site de l'Insee

    [modifier | modifier le code]
    1. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
    2. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    5. Insee : Rapport statistique communal pour la ville d' Aries-Espénan
    6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Aries-Espénan » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Aries-Espénan » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    [modifier | modifier le code]
    1. Stephan Georg, « Distance entre Aries-Espénan et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Aries-Espénan et Trie-sur-Baïse », sur fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches d'Aries-Espénan », sur villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 341-342.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Castelnau-Magnoac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Aries-Espénan et Castelnau-Magnoac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Castelnau-Magnoac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Aries-Espénan et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    18. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aries-Espénan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF les « coteaux du Gers d'Aries-Espénan à Auch » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    21. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Aries-Espénan », sur Géorisques (consulté le ).
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
    23. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    25. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
    28. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Aries-Espénan », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
    29. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
    30. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral d' Aries en 1812
    31. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral d' Espénan en 1812
    32. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    33. « Liste des juridictions compétentes pour Aries-Espénan », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
    38. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).