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Édition du 17 juin 2018,
section ACTUALITÉS, écran 12
C’est la taille de la tempête qui souffle actuellement sur la planète Mars – une superficie équivalant à celles de l’Amérique du Nord et de la Russie combinées. Pas de chance : le rover Opportunity se trouve en plein cœur. Il ne peut fonctionner, faute de lumière, mais la NASA a affirmé mercredi dernier avoir bon espoir de reprendre contact avec lui une fois la tempête passée.
— Philippe Mercure, La Presse
Réponse
Pour le savoir, regardez-vous dans le miroir. Des chercheurs américains ont présenté 300 paires de visages à 511 chrétiens en leur posant chaque fois une question : lequel ressemble le plus à Dieu ? Ils ont noté que les gens choisissent généralement un Dieu qui a le même âge et qui appartient à la même race qu’eux et qui leur ressemble à plusieurs égards. Ceux qui se décrivent comme conservateurs imaginent Dieu plus âgé, plus masculin et plus puissant que les libéraux, pour qui Dieu est plus souvent aimant, féminin et noir.
— Philippe Mercure, La Presse
Des algorithmes qui résolvent des conflits avant qu’ils n’aboutissent en cour ou qui prédisent l’issue d’un procès ? L’intelligence artificielle s’immisce dans le monde juridique, et le Laboratoire de cyberjustice de l’Université de Montréal et de l’Université McGill vient d’annoncer un vaste programme de recherche de six ans et de 6,8 millions de dollars pour en savoir plus sur la question. Les travaux, qui impliqueront 45 chercheurs, « vont permettre de mieux comprendre les enjeux sociojuridiques et éthiques liés à l’intégration de l’intelligence artificielle dans le système de justice », selon le communiqué de presse publié pour annoncer le projet. — Philippe Mercure, La Presse
Le grand murin, une impressionnante chauve-souris dont les ailes peuvent s’étendre sur près d’un demi-mètre, est considéré comme éteint en Grande-Bretagne. Mais un mâle, que les scientifiques croient être le tout dernier représentant de son espèce de l’île, se présente tous les hivers depuis 16 ans dans un tunnel ferroviaire du comté de West Sussex. Les grands murins n’ont jamais été nombreux au Royaume-Uni, mais la fascination pour les quelques colonies découvertes leur a été fatale. Les curieux qui voulaient photographier les animaux les ont tellement perturbés qu’ils ont causé leur perte. — Philippe Mercure, La Presse
Il existe des émoticônes pour les volcans, les tornades, les tsunamis, les incendies de forêt et les cyclones. Mais le tremblement de terre, lui, n’a pas droit à son symbole pouvant être utilisé rapidement sur les téléphones cellulaires et les réseaux sociaux. Sujet frivole ? Pas de l’avis d’un groupe de scientifiques, qui a lancé une campagne pour en trouver un. Leur argument : une émoticône qui peut se diffuser rapidement et qui brise la barrière des langues pourrait permettre de mieux réagir aux tremblements de terre et même sauver des vies. Jusqu’au 14 juillet, le grand public est invité à soumettre un symbole qui soit à la fois « évocateur, simple, universel et distinctif ».
— Philippe Mercure, La Presse