Parti républicain libéral (Portugal)
Le Parti républicain libéral fut un parti politique portugais à l'époque de la Première République portugaise.
Partido Liberal Republicano | |
Présentation | |
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Président | António Granjo |
Fondation | 1919 |
Disparition | 1923 |
Idéologie | Conservatisme, Libéral-conservatisme, Libéralisme classique et Nationalisme |
Adhérents | républicanisme |
Histoire
modifierIl est fondé en 1919 à la suite de l'union des deux grands partis conservateurs de l'époque, le Parti républicain évolutionniste et le Parti unioniste[1] afin de faire face à la domination du Parti démocrate[2]. Les dirigeants des anciens partis, António José de Almeida, ancien leader du Parti républicain évolutionniste, élu président de la République et Brito Camacho, l'ancien président du Parti unioniste, nommé Haut Commissaire de la République au Mozambique, choisirent António Granjo pour occuper la fonction de leader du nouveau parti[3],[4],[5]. Ce dernier fut assassiné durant la nuit sanglante du [6], ce qui entraîna, en 1922, des négociations avec le Parti républicain de reconstitution nationale en vue d'une fusion, puis aboutit le , à la création du Parti nationaliste républicain[1],[7].
Références
modifier- Dieter Nohlen et Philip Stöver, Elections in Europe: A data handbook, (ISBN 978-3-8329-5609-7), p. 1554
- (pt-BR) Ernesto Castro;Zúquete Leal, Grandes Chefes da História de Portugal, Leya, (ISBN 978-972-47-4492-6, lire en ligne)
- « O Portal da História - Sidónio Pais », sur www.arqnet.pt (consulté le )
- « Brito Camacho », sur web.archive.org, (consulté le )
- (pt) Presidência da República Portuguesa, « António José de Almeida - Presidente da República - Sítio Oficial de Informação da Presidência da República Portuguesa », sur www.presidencia.pt (consulté le )
- « Depois veio a noite infame :: A Primeira República », sur republica-sba.webnode.com.pt (consulté le )
- (pt) Manuel Baiôa, A Ideologia do Partido Republicano Nacionalista (1923-1935). A construção de uma «República para todos os Portugueses, Universidade de Évora, , p. 242