Émile Ntamack

joueur français de rugby à XV

Émile Ntamack, né le à Lyon, est un joueur international français et entraîneur de rugby à XV. Joueur, il a évolué aux postes d'arrière, d'ailier ou de centre au sein du Stade toulousain où il a fait toute sa carrière et a gagné plusieurs titres nationaux et européens. Après sa carrière de joueur, il en a entamé une d'entraîneur : il a notamment été entraîneur adjoint des trois-quarts pour le XV de France, équipe qu'il mène jusqu'en finale de la coupe du monde 2011, et de l'UBB, et s'occupe depuis 2017 des filières de jeunes au Stade toulousain.

Émile Ntamack
Description de cette image, également commentée ci-après
Émile Ntamack en 2015.
Fiche d'identité
Naissance (54 ans)
Lyon (France)
Taille 1,89 m
Surnom Milou, la Panthère noire
Poste arrière, ailier, centre
Carrière en junior
PériodeÉquipe 
1987-1988 Stade toulousain
Carrière en senior
PériodeÉquipeM (Pts)a
1988-2005 Stade toulousain 368 (?)[1]
Carrière en équipe nationale
PériodeÉquipeM (Pts)b
1994-2000 France 46 (135)[2]
Carrière d'entraîneur
PériodeÉquipe 
2004-2005
2005-2007
2007-2011
2015-2017
Stade toulousain (espoirs)
France -21
France (arrières)
UBB (arrières)

a Compétitions nationales et continentales officielles uniquement.
b Matchs officiels uniquement.
Dernière mise à jour le 10 avril 2015.

Avec le Stade toulousain, il remporte deux Coupes d'Europe en 1996 et 2003 ainsi que six fois le championnat de France en 1994, 1995, 1996, 1997, 1999 et 2001. Avec l'équipe de France, il remporte une fois le Tournoi des Cinq Nations en 1997.

Il est surnommé « Milou » ou encore « la Panthère noire » en raison de sa couleur de peau et de sa foulée, souple et élégante.

Son fils Romain, né en 1999, joue au Stade toulousain et en équipe de France depuis 2019. En 2021, ils deviennent le premier duo père-fils à avoir remporté la Coupe d'Europe.

Son second fils, Théo, joue au Stade toulousain et en équipe de France des moins de 20 ans.

Carrière de joueur

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Débuts

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Émile Ntamack est le fils d'un ancien haltérophile camerounais reconverti arbitre de football[3], et d'une mère pied-noire[3], vivant en région lyonnaise où naissent leurs 3 fils.

Après avoir pratiqué le football et l’athlétisme, Émile Ntamack aborde le rugby. Repéré chez les cadets, alors qu'il jouait à Meyzieu (dans la banlieue lyonnaise), il intègre la filière sport-étude du lycée Jolimont, à Toulouse. Il signe en tant que cadet à l'Association sportive vauréenne (Lavaur - Tarn). Il y dispute quelques saisons en tant que cadet, puis junior, dans une équipe où évoluaient également Bruno Dalla-Riva et Christophe Guiter, futurs membres eux aussi du Stade toulousain. Avec Lavaur, il dispute quelques matches en équipe une, qui évoluait à l'époque en Troisième Division. Puis, encore junior, il rejoint le Stade toulousain en 1988.

En club

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Guy Novès, ici en 2011, est l'entraîneur d'Émile Ntamack de 1993 à 2005.

Il y effectue toute sa carrière (capitaine à partir de 1996), se bâtissant un palmarès exceptionnel : champion de France Reichel 1989 et 1990, champion de France en 1994, 1995, 1996, 1997, 1999, 2001 (finaliste en 2003), vainqueur du Challenge du Manoir (devenu Coupe de France) en 1993, 1995 et 1998 et vainqueur de la Coupe d’Europe en 1996, 2003 et 2005 (finaliste en 2004).

Le , il est capitaine du Stade toulousain pour la première finale de l'histoire de la Coupe d'Europe à l'Arms Park de Cardiff face au Cardiff RFC, les Toulousains s'imposent 21 à 18 après prolongation et deviennent ainsi les premiers champions d'Europe.

Le , il est titulaire avec le Stade toulousain en finale de la Coupe d'Europe au Lansdowne Road de Dublin face à l'USA Perpignan. Les Toulousains s'imposent 22 à 17 face aux catalans et deviennent ainsi de nouveau champions d'Europe. La saison suivante, il joue de nouveau la finale de la Coupe d'Europe qui se déroule cette fois au Stade de Twickenham à Londres face aux London Wasps. Il est titularisé sur l'aile droite. Les Anglais l'emportent sur le fil 27 à 20, à la suite d'une erreur de Clément Poitrenaud, empêchant les Toulousains de gagner un deuxième titre consécutif.

Il arrête sa carrière à l’issue de la saison 2004-2005.

En 2016, le site Rugbyrama le classe premier parmi les 10 meilleurs joueurs de l'histoire du Stade toulousain[4].

En équipe de France

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Il débute en équipe de France lors du Tournoi 1994, prenant part, quelques mois plus tard, à la mémorable tournée en Nouvelle-Zélande. À cette occasion, il suscite l’admiration de l’un de ses adversaires : le tout jeune Jonah Lomu.

Retenu pour la Coupe du monde 1995, Émile Ntamack s’illustre en inscrivant, dans les arrêts de jeu, un essai contre l’Écosse, offrant à la France la première place de sa poule et lui évitant ainsi d'affronter la Nouvelle-Zélande en quart de finale. Au tour suivant, contre l’Irlande, il est l’auteur d’un autre essai décisif, sur une interception de passe. Ces performances lui valent une nomination dans l’équipe-type de la Coupe du monde, ainsi que l’Oscar du Midi olympique 1995.

Ntamack remporte ensuite la Coupe Latine 1995, le Grand Chelem 1997 et est meilleur marqueur du Tournoi 1996.

Diminué par une pubalgie après avoir disputé le record[réf. souhaitée] de 54 matchs en 1995-96, il n’apparaît plus en équipe nationale entre et [5]. C’est toutefois en pleine possession de ses moyens qu’il fait son retour, étant l’un des seuls Français à tirer son épingle du jeu lors du Tournoi 1999. Il réalise notamment un exploit rare : trois essais inscrits contre le pays de Galles (malgré une défaite ce jour-là). Cela lui permet de finir meilleur marqueur de la compétition. Dans la foulée, il passe du poste d’arrière à celui de centre pour parvenir en finale de la Coupe du monde. Cette même année le voit finir meilleur marqueur de la Coupe d'Europe.

Après une dernière participation au Tournoi en 2000, Émile Ntamack n’apparaît plus sous le maillot bleu.

Avec les Barbarians

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Le , il est invité pour la première fois avec les Barbarians français contre le XV du Président pour le Centenaire du rugby à Grenoble. Les Baa-Baas s'imposent 92 à 34[6].

Le , il joue de nouveau avec les Barbarians français contre l'Australie à Clermont-Ferrand. Les Baa-Baas s'inclinent 26 à 43[7].

Le , il joue avec les Barbarians français contre les Barbarians au Stade Charlety à Paris. Les Baa-Baas s'imposent 35 à 18[8].

Carrière d'entraîneur

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Emile Ntamack à l'entraînement des jeunes toulousains en 2012.

Après sa carrière de joueur, prenant en charge l’entraînement des moins de 21 ans du Stade toulousain, il effectue des piges épisodiques au cours de la saison 2004-2005 afin de pallier les nombreuses blessures des « Stadistes » (notamment un match de Coupe d’Europe contre Glasgow).

En 2005, il s'occupe de l'équipe de France des moins de 21 ans avec laquelle il devient champion du monde en 2006, avec des joueurs comme Lionel Beauxis.

À partir du , il est chargé de l'entraînement des arrières du XV de France, épaulant Marc Lièvremont nommé à la suite de Bernard Laporte, Didier Retière étant pour sa part chargé des avants.

Ce trio remporte un match en Nouvelle-Zélande en 2009, la quatrième victoire des Bleus sur le sol néo-zélandais après la victoire du et les deux victoires de 1994, et est vainqueur du Tournoi des VI Nations 2010 avec en plus un Grand Chelem à la clé (le neuvième dans l'histoire du XV de France).

Après l'avoir lui-même vécu en tant que joueur, c'est cette fois au poste d’entraîneur qu'il accède à la finale de la coupe du Monde 2011 en Nouvelle-Zélande. L'équipe de France est battue 8-7.

Il entraîne quelques années l'équipe des benjamins (moins de 13 ans) du Stade toulousain et est aussi chargé du développement technique des joueurs de -13 ans à -17 ans. En , Fabien Pelous devenant directeur sportif du Stade toulousain, Ntamack choisit le poste d’entraîneur des lignes arrière de l'Union Bordeaux Bègles. Il reste finalement deux saisons sur trois à Bordeaux avant de revenir au Stade toulousain en tant que manager général de la formation[9],[10]. Il succède ainsi au directeur sportif Fabien Pelous pour diriger la formation toulousaine mais n'intervient pas sur l'équipe première. En plus de ce rôle de manager, il entraîne des équipes de jeunes au sein du club[11],[12].

En 2019, il est invité à diriger la première sélection régionale créée par la Ligue régionale Occitanie de rugby, pour affronter l'Espagne le au Stade Ernest-Wallon, aux côtés de Christian Labit et David Marty. Les joueurs sélectionnés évoluent dans les clubs professionnels de la région[13].

Bilan par saison

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En sélection

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Année Sélection Tournoi Poste Classement IRB à la fin de l'année Tournoi Coupe du monde
2008   France Six Nations Arrières 7e 3e -
2009   France Six Nations Arrières 5e 3e -
2010   France Six Nations Arrières 6e Grand Chelem -
2011   France Six Nations Arrières 3e 2e Finaliste

En club

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Saison Club Division Poste Classement Coupe d'Europe Challenge européen
2015 - 2016 Union Bordeaux Bègles   Top 14 Arrières 7e Éliminé en poule -
2016 - 2017 Union Bordeaux Bègles   Top 14 Arrières 11e Éliminé en poule -

Il obtient l'Oscar du Midi olympique (meilleur joueur français du championnat) en 1995.

À la fin de l'année 1994, il tenta de créer, avec le montferrandais Philippe Saint-André, le narbonnais Laurent Benezech et le palois Laurent Cabannes, une structure réunissant l'ensemble des joueurs français en cours de professionnalisation. L'aventure tourna court, faute de moyens matériels et financiers.

Le , avec le Montferrandais Jean-Marc Lhermet, il réussit enfin à créer un premier Syndicat national des joueurs de rugby professionnels qui deviendra Provale le . Les deux joueurs étaient aidés en cela par Rémi Trémoulet, Jean-Michel Delgado et Pascal Valleau. Aujourd'hui[Quand ?] Provale compte plus de 500 adhérents.

Son frère, Francis Ntamack, fut lui aussi sélectionné en équipe de France.

Il est aussi à l'origine de la création de sa marque de vêtement de sport NTK DG (avec son associé Denis Grenouillé, ancien arbitre de rugby) depuis 1996. Entreprise située près de l'école croix rouge à Toulouse. Il s'occupe aussi de la téléphonie mobile des entreprises du grand Sud Ouest pour le compte d'Orange (France Télécom) et ce depuis 2001.

De 2004 à 2008, il est membre du comité directeur de la Fédération française de rugby[14].

De 2013 à 2015, il est consultant pour Sud Radio. Durant la saison 2014-2015, il est consultant pour beIN Sports.

Distinctions

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Parcours

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  • 1986-1987 :
    • Champion de France cadet, avec le lycée sport étude toulousain de Jolimont.
  • 1988-1989 :
    • Champion de France junior Reichel avec le Stade toulousain.
    • Champion de France junior avec le lycée sport étude de Jolimont.
    • Champion de France junior Tadei avec le comité de Midi-Pyrénées.
    • Vainqueur du tournoi FIRA avec l'équipe de France junior.
  • 1989-1990 :
    • Champion de France junior Reichel avec le Stade toulousain.
  • 1992-1993 :
    • Champion de France militaire avec le 14e régiment parachutistes et de soutien.
    • Vainqueur du Challenge Yves du Manoir avec le Stade toulousain.
  • 1993-1994 :
  • 1994-1995 :
    • Champion de France de 1re Division avec le Stade toulousain.
    • Vainqueur du Challenge Yves du Manoir avec le Stade toulousain.
    • 3e de la Coupe du monde de rugby 1995, en Afrique du Sud.
    • (Élu dans l 'équipe idéale de cette même Coupe du monde).
    • Vainqueur de la 1re Coupe latine, en Argentine.
    • Élu meilleur joueur de l’année : Oscar du Journal Midi-Olympique.
  • 1995-1996 :
    • Nommé Capitaine du Stade toulousain.
    • 1er Champion d'Europe de la Heineken Cup avec le Stade toulousain.
    • Champion de France de 1re division avec le Stade toulousain.
  • 1996-1997 :
    • Vainqueur du Tournoi des cinq nations, avec un Grand Chelem à la clé.
    • Il manque la finale du championnat de France, qui est gagnée par le Stade toulousain… sans marquer d'essai.
  • 1997-1998 :
    • Vainqueur de l'ex-Challenge Yves du Manoir avec le Stade toulousain, entre-temps devenu la Coupe de France depuis un an.
  • 2002-2003 :
    • Champion d'Europe de la Heineken Cup avec le Stade toulousain (seul joueur européen alors -avec Philippe Carbonneau le premier en 1998- ayant obtenu deux titres en club).
    • Finaliste du Championnat de France de 1re division avec le Stade toulousain.
  • 2003-2004 :
    • Finaliste de la Heineken Cup.

Carrière

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En club

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Internationale

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Émile Ntamack a connu sa première sélection avec l'équipe de France le contre le Pays de Galles.

Il a été sélectionné 46 fois et a joué son dernier match le contre l'Italie.

Statistiques

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Tournoi des Cinq/Six Nations

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Détails du parcours d'Émile Ntamack dans le Tournoi des Cinq/Six Nations.
Édition Rang Résultats France Résultats Ntamack Matchs Ntamack
Cinq Nations 1994 3 2 v, 0 n, 2 d 0 v, 0 n, 1 d 1/4
Cinq Nations 1995 3 2 v, 0 n, 2 d 2 v, 0 n, 0 d 2/4
Cinq Nations 1996 3 2 v, 0 n, 2 d 2 v, 0 n, 2 d 4/4
Cinq Nations 1997 1 4 v, 0 n, 0 d 1 v, 0 n, 0 d 1/4
Cinq Nations 1999 5 1 v, 0 n, 3 d 1 v, 0 n, 3 d 4/4
Six Nations 2000 2 3 v, 0 n, 2 d 3 v, 0 n, 2 d 5/5

Légende : v = victoire ; n = match nul ; d = défaite ; la ligne est en gras quand il y a Grand Chelem.

Coupe du monde

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Détails du parcours d'Émile Ntamack en Coupe du monde
Édition Rang Résultats France Résultats Ntamack Matchs Ntamack
Afrique du Sud 1995 Troisième 5 v, 0 n, 1 d 4 v, 0 n, 1 d 5/6
Royaume-Uni 1999 Finaliste 5 v, 0 n, 1 d 5 v, 0 n, 1 d 6/6

Légende : v = victoire ; n = match nul ; d = défaite.

Palmarès de joueur

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En club

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Junior
  • Quatre Championnats de France Junior (deux Reichel, un Taddei, un scolaire)
  • Champion de France universitaire en 1992
  • Champion de France militaire en 1993
Senior
  • 6 fois Champion de France : 1994 face à Clermont, 1995 face à Castres, 1996 face à Brive (capitaine), 1997 face à Bourgoin, 1999 face à Clermont et 2001 face à Clermont
    • Vice-champion de France en 2003 face au Stade français

International

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Stats générales
Tournoi des cinq nations et Tournoi des Six Nations
Coupes du monde
Junior
  • International -18 ans : tournois FIRA Junior (1988 et 1989)
  • International -23 ans
  • International universitaire
  • International militaire

Palmarès d’entraîneur

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Équipe de France de rugby à XV des moins de 21 ans

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Notes et références

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  1. Philippe Lauga, « Florian Fritz au Panthéon du Stade Toulousain », sur www.ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le ).
  2. a et b (en) « Fiche d'Émile Ntamack », sur ESPNscrum (consulté le ).
  3. a et b « Ntamack, la grande star », sur leparisien.fr, (consulté le )
  4. Ivan Pedros, « Top 14 - Stade toulousain : Le Top 10 des meilleurs joueurs de l'histoire de Toulouse », sur www.rugbyrama.fr, Rugbyrama, (consulté le )
  5. « Emile Ntamack : la sortie du tunnel », sur ladepeche.fr (consulté le )
  6. « BARBARIANS VS XV du Président 92 - 34 », sur barbarianrugbyclub.fr
  7. « Barbarian Rugby Club vs Australie », sur www.barbarianrugbyclub.com, Barbarians français (consulté le )
  8. « Barbarian Rugby Club vs Barbarians Britanniques », sur www.barbarianrugbyclub.com, Barbarians français (consulté le )
  9. « Transfert - Emile Ntamack annonce son départ de Bordeaux-Bègles », sur www.rugbyrama.fr, Rugbyrama, (consulté le ).
  10. Clément Mazella, « Top 14 - Emile Ntamack manager général de la formation du Stade toulousain », sur www.rugbyrama.fr, Rugbyrama, (consulté le ).
  11. « Cadets A 2018-2019 », sur www.stadetoulousain.fr, Stade toulousain (consulté le ).
  12. « Crabos 2018-2019 », sur www.stadetoulousain.fr, Stade toulousain (consulté le ).
  13. « L'Occitanie créé sa propre équipe de rugby et affrontera l'Espagne en novembre », sur www.ladepeche.fr, (consulté le ).
  14. « ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ÉLECTIVE À LA FFR Lapasset avec 98,95 % des voix », sur letelegramme.fr, Le Télégramme, (consulté le )
  15. Décret du 3 juillet 2024 portant promotion et nomination dans l'ordre national de la Légion d'honneur (lire en ligne)
  16. « Fiche d'Émile Ntamack », sur itsrugby.fr (consulté le ).

Liens externes

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